Merci Léa... et je crois++ que lorsque nous arrivons à nous écouter, nous accédons à nos vrais besoins, nous identifions mieux nos limites du moment... et alors nous osons mieux. Boucle à entretenir avec l'humilité et la joie d'un jardinier :)
Oui tu as raison, car tu crois plus en ta capacité d'y arriver et donc tu oses tout en ne te sentant pas en roue libre. Moi pour le coup, pendant longtemps j'étais en mode chute libre, j'ose à fond mais sans rien contrôler, et ça a fait des dégâts. Comme tu le dis, c'est une boucle où un équilibre à avoir entre humilité et exploration !
Petite question: dans ce premier épisode, tu parles au « je », mais aussi au « on » et au « nous » sans preciser si tu es seule (« nous »littéraire ou québécois) ou dans un groupe. Dans le premier cas, chapeau d’avoir retrouvé un chemin pour revenir vivante. Dans le second, ton inconscience semble partagée avec plusieurs personnes: étai.en.t-elle.s aussi novice.s?
Merci Léa... et je crois++ que lorsque nous arrivons à nous écouter, nous accédons à nos vrais besoins, nous identifions mieux nos limites du moment... et alors nous osons mieux. Boucle à entretenir avec l'humilité et la joie d'un jardinier :)
Oui tu as raison, car tu crois plus en ta capacité d'y arriver et donc tu oses tout en ne te sentant pas en roue libre. Moi pour le coup, pendant longtemps j'étais en mode chute libre, j'ose à fond mais sans rien contrôler, et ça a fait des dégâts. Comme tu le dis, c'est une boucle où un équilibre à avoir entre humilité et exploration !
Merci Léa,
Petite question: dans ce premier épisode, tu parles au « je », mais aussi au « on » et au « nous » sans preciser si tu es seule (« nous »littéraire ou québécois) ou dans un groupe. Dans le premier cas, chapeau d’avoir retrouvé un chemin pour revenir vivante. Dans le second, ton inconscience semble partagée avec plusieurs personnes: étai.en.t-elle.s aussi novice.s?